Un gay se rend chez son ami un peu dominateur. Après l'avoir baisé, il lui fait une surprise de taille.....

Comme chaque matin, je suis dans ma voiture et je me dirige vers mon boulot. Mon portable se met soudain à sonner, il est 8 h 30 et je me demande qui peut m'appeler à cette heure là, mes interlocuteurs habituels appelant rarement avant 9 heures. Je suis surpris d'entendre la voix de Jean, un amant que j'avais rencontré dans un café et à qui j'avais laissé mon numéro. Après m'avoir rappelé quelques détails plutôt excitants de nos derniers ébats qui ont tôt fait de me mettre dans tous mes états, il me propose de passer le voir dans l'après midi et ajoute qu'il a une surprise pour moi. Le ton de sa voix est calme et posé, décidé même, et comme mon emploi du temps le permet, je ne résiste pas à sa proposition et j'accepte de venir.

Les heures de la matinée passent, plutôt longues quand on attend une rencontre que l'on sait par avance chaude, connaissant le coquin qui m'attend. Déjeuner le midi, puis je prends ma voiture et je me rends chez lui. Il habite dans Paris et le trajet n'est pas très long. Je ne peux pas m'empêcher de chercher à deviner quelle surprise il m'a préparé mais avec lui, je peux m'attendre à tout ! Je suis arrivé, je sonne, sa voix me répond et la porte s'ouvre. Je monte l'escalier, mon pouls s'accélère comme à chaque rencontre. Je sonne à sa porte, il m'ouvre, me fait entrer et me met immédiatement dans le bain quand sa main droite se met à caresser mes fesses à travers le pantalon tandis qu'il m'embrasse dans le cou avant de me susurrer dans l'oreille :

• Alors, comment va ma petite cochonne aujourd'hui ?

Je n'ai pas le temps de répondre qu'il me prend par la main et m'entraîne vers sa chambre. Visiblement, je suis attendu : le lit est ouvert, le gel et les capotes posés sur la table de chevet, lumière tamisée, et le grand miroir toujours posé à coté du lit.

Ses mains vont et viennent sur moi, il retire ma veste et commence à déboutonner ma chemise en me caressant. Sa bouche ne reste pas inactive et il me couvre de baisers dans le cou. J'adore jouer à la poupée qu'on déshabille et je me laisse faire en fermant les yeux. Ce traitement ne me laisse pas insensible et je sens mon sexe qui commence à se sentir à l'étroit dans mon slip. Mon partenaire aux mains baladeuses s'en aperçoit rapidement et sa main commence à me caresser, puis il défait ma ceinture et mon pantalon qui me tombe sur les pieds.

• Attends une seconde' me dit-il 'et laisse moi faire. Fais-moi confiance et je vais te faire jouir comme tu le mérites.' 'Ne te retournes pas surtout !

Je reste face au mur , et j'en profite pour me débarrasser de mon pantalon et de mes chaussures. Je me redresse et je le sens derrière moi, ses bras passent autour de moi et un instant plus tard, il me met un bandeau sur les yeux qu'il noue derrière ma tête. Je ne vois plus rien mais cela m'excite terriblement de me trouver ainsi dans l'attente de ses attouchements sans savoir d'où ils vont venir.

Il m'enlève ma culotte et me pousse vers le lit. Je cogne dans le lit , et cherchant avec mes mains, je me retrouve dessus a quatre pattes. J'entends sa respiration derrière moi mais je ne sais pas ce qu'il prépare. Une main caresse mes fesses, puis s'éloigne quand une petite claque s'abat sur ma fesse droite. Je pousse un 'aie' plus de surprise que de douleur. Une autre claque, puis une autre, visiblement, il me donne une fessée en règle. Je sens mes fesses s'échauffer, mais il ne frappe pas trop fort et c'est plutôt excitant. Mon cœur bat beaucoup plus vite.

Au bout de 2 ou 3 minutes de ce traitement, il arrête de me fesser et je l'entends fouiller dans la table de chevet. Puis il allume sa chaîne hi-fi et une musique de fond se répand dans la pièce. Je sens sa main gauche m'écarter les globes des fesses quelques secondes, puis un doigt commencer à lubrifier ma rondelle, avant de me pénétrer. Il entre et ressort doucement, remet du lubrifiant et là, c'est 2 doigts qui me visitent le cul. Après la chaleur de la fessée, la fraîcheur du lubrifiant me fait du bien et je me laisse faire avec plaisir. De temps en temps, j'entends quelques bruits que je n'arrive pas à identifier mais je me demande si c'est mon imagination, lui qui fait je ne sais quoi ou la chaîne hi-fi.

Bref, pas grave. Au bout de plusieurs minutes de ramonage, mon petit cul commence à être bien lubrifié et dilaté. Je me laisse aller à ce traitement, ma foi plutôt agréable même si deux doigts ne remplacent pas une bonne queue. Il abandonne mon cul et se monte sur le lit devant moi, je me doute de ce qu'il veut car mon nez perçoit son odeur avant même que sa queue ne vienne effleurer mes lèvres. Toujours obéissant, j'écarte mes lèvres et ma langue vient titiller le bout de son gland. Il se rapproche et mes lèvres enserrent maintenant le bout de sa queue que je me mets à déguster lentement, ouvrant et refermant ma bouche sur son gland avant de le faire coulisser en moi.

Je fais des va- et-vient sur son manche, que j'engloutis de plus en plus profondément, lui faisant pousser des soupirs de plaisir. Pendant ce temps, je suis toujours à 4 pattes sur le lit et je me dis que je dois offrir un drôle de spectacle, à genoux, un bandeau sur les yeux, les fesses en l'air, en train de sucer avec délices l'énorme manche de mon partenaire. Il a l'air d'apprécier en tout cas. Je le sens se pencher sur moi et ses mains agripper mes fesses, avant qu'un doigt vérifie que je suis toujours bien lubrifié. Le doigt se retire et je sens qu'il introduit autre chose de plus gros. Je me contracte mais il me dit de rester calme, son autre main caressant mes fesses. Il pousse par petits coups et je sens la chose me pénétrer, je suis sur que c'est un gode de belle taille. Petit à petit, je sens mes chairs se dilater et accueillir l'objet.

Il le laisse entre mes fesses et ses mains remontent sur mon dos. Puis il se penche à nouveau et je le sens toucher le gode qui se met à vibrer. Je ne me suis jamais fait sodomiser avec un vibromasseur mais la sensation est plutôt agréable et les vibrations irradient dans tout mon bassin. Cette délicieuse sensation me fait redoubler d'ardeur sur le manche de mon partenaire tandis que mes hanches commencent à s'agiter dans tous les sens. Satisfait, mon mâle se redresse et ses mains attrapent ma tête, m'obligeant à le pomper entièrement, presque à m'étouffer.

Je suffoque à moitié mais lui prend visiblement toujours autant de plaisir à me baiser par la bouche. Il pousse des grognements de satisfaction et le rythme s'accélère. Je ne contrôle plus rien, mon corps s'agite en cadence avec ses va-et-vients. Ce qui devait arriver arrive, je le sens d'un coup me rentrer au fond de la gorge et un puissant jet de foutre m'inonde la bouche. Il finit de se vider puis sort sa queue et descend du lit.

Il doit me regarder, moi toujours a quatre pattes, la bouche pleine de son jus et le cul qui ondule sous les vibrations. Il arrête le vibro, le retire et semble chercher quelque chose. Il s'approche et me dit que c'est bien que je suis une bonne salope et qu'il va maintenant me donner ce que j'attends. Je sens une lanière passer à mon poignet gauche, qui se serre d'un coup. Je veux l'enlever et ma main droite approche pour chercher comment l'ouvrir mais il est déjà de l'autre côté et attrape mon bras droit qui se retrouve lui aussi prisonnier. Plus je tire, plus ça serre.

'- Ne t'inquiète pas' me dit-il, 'je ne te ferai pas de mal, mais j'aime que tu sois bien soumise à mes désirs'.

Il s'éloigne et sort de la pièce. Je ne sais pas quoi faire, sinon attendre. Je ne peux même plus retirer le bandeau pour voir ce qui se prépare. Tout à coup, je l'entends parler, mais visiblement à quelqu'un d'autre :

• Alors, que pensez vous de ma petite femelle ? Je vous avais dit qu'elle était jolie et que c'était une vraie salope. J'espère que tu n'as pas raté tes photos Dom ! Je les veux pour ma collection. Je suis sur que vous bandez comme des taureaux après ce que vous nous avez vu faire. Le temps que je me remette à bander, je vous la prête...'

Alors comme ça, pendant tout le temps où il a joué avec moi, ses copains nous ont matés et même pris en photo ! Je ne sais plus où me mettre, je me sens humilié et en même temps impuissant à contrôler ce qui va arriver. Je sens quelqu'un s'approcher derrière moi et j'ai à peine le temps de dire 'Non !' que je sens deux mains attraper mes hanches, et une queue dure comme du bois me pénétrer. Le type qui me grimpe me donne de grands coups de bassin qui me secouent en entier chaque fois qu'il vient cogner contre mon cul. Heureusement que sa queue n'est pas trop grosse. Il me défonce littéralement et je l'entends dire en même temps :

• Tu as raison, elle est vraiment bonne, avec un joli petit cul bien serré comme je les aime !'

Il est tellement excité qu'il ne me laboure que quelques minutes avant d'exploser en poussant de grands cris de jouissance.

• A ton tour Fred' lance t-il en se retirant.

J'espère que le Fred en question sera moins brutal, j'ai déjà un peu mal. Je n'ai pas le temps d'y réfléchir que je sens deux grandes mains attraper mes fesses et les pouces les écarter, tandis que la queue suivante se présente devant mon anus. '

• Tu vas voir ma puce, tu vas aimer Fred' me dit-il

Et à sa voix, où pointe un léger accent traînant, je suis presque sur que Fred est un black. Et membré comme un black on dirait parce qu'après le gode et son copain, il est obligé de forcer pour pouvoir entrer. J'ai mal, je me mords les lèvres pour ne pas hurler tandis que son énorme bite se fraye un passage en moi.

Pourtant il y va doucement, mais elle est vraiment énorme. Il met plusieurs minutes à me pénétrer et je me sens complètement rempli. Sa queue doit frotter partout à l'intérieur de mon conduit car j'ai des tas de sensations inconnues qui me remontent du bas ventre. Il se met à me limer doucement et je sens mon sphincter qui bouge au rythme de ses mouvements. Je n'y tiens plus et je commence à pousser de longs gémissements, de plus en plus forts, sans pouvoir me contrôler.

Mon étalon black accélère petit à petit ses mouvements et mon cul s'habitue peu à peu à son monstrueux organe. Je continue de gémir, complètement anesthésié, sans volonté, soumis à ce mâle puissant qui me chevauche selon son bon plaisir. Je me sens devenu un autre, une autre, je ne sais plus, je ne ressens plus que ce mouvement de va et vient, comme si tout mon corps n'était plus qu'un prolongement de mes organes sexuels. Fred continue de me labourer pendant de longues minutes lorsque je le sens sortir d'un coup et après avoir arraché sa capote me gicler sur le dos en longs jets bouillants. Je m'écroule sur le lit, épuisé et le cul en feu. J'entends mes 3 compères faire leurs commentaires

• Tu avais raison Jean, un super coup, il y a longtemps que je n'avais pas baisé un aussi beau cul, on recommence quand tu veux !'

• Tu devrais me la prêter plus souvent, j'en ferais une vraie pute à blacks.

• Pas question messieurs, je voulais juste lui montrer ce qu'un maître peut exiger de sa femelle obéissante. Mais elle est à moi et d'autres jeux nous attendent la prochaine fois.'

Eh bien, que va t-il bien pouvoir inventer cette fois ci !

Libertin convaincu

QUELQUES LIENS

FORUM gay et plaisir entre hommes

LIRE des histoires érotiques gay

VOIR près de 2000 photos gay SANS PUB

VOIR des vidéos gay SANS PUB

SANS PUB = pas de redirection vers des sites d'arnaque !

UNE BOUTIQUE fétichiste très BDSM

Lire les histoires érotiques TRES HARD de TSM